Textes [extraits] 

© 2022 NOZAM

Chanson pour Malik

J'taurais dit d'être noble

De ne jamais juger

Parce qu'on ne sait pas tout

Parce qu'on ne sait jamais

Derrière mon coeur

Ne m'appelle plus mon ange

Ca me dérange

Y'a plus de mal en moi

Que tu ne sais déjà

Son parfum

Des roses,

Elle soignait aussi les épines

Moi j'aimais jouer sous la glycine 

Le temps n'avait pas d'importance

Quand j'y pense

En arrière

J't'ai dit qu'j'courais à la voiture

Chercher l'parapluie pour te protéger

On commençait à respirer l'air pur

D'un avenir prometteur

Et soudain ton visage a changé 

Nos âmes

A regarder à l'intérieur de nous

L'étrange beauté du spleen

Des parasites plantés 

Comme des clous

Dans la poitrine

Les derniers jours de Léon

Léon reste muet sur sa mère 

Mais tout est dit dans un soupir

Il va jamais au cimetière 

Ca la fera pas revenir 

De battre mon coeur

J'ai retrouvé le goût des refrains

Dans ce costume je me sens bien

Mais sans toi tout ça

Ne sert à rien

L'impossible

Chérie fais-moi peur

Enfonce ton rire dans mon coeur

Je veux bien souffrir

Si de toi vient ma douleur

Mourir Seul

Je le dis sans tristesse 

Non vraiment croyez-moi

On s'entoure des autres 

Pour revenir à soi

Rien n'est à moi

Non ce n'est pas une utopie
De croire qu'on peut changer de vie
Ici et maintenant
Comme tu peux voir moi je ne suis
Ni magicien, ni millionnaire
Et pourtant

Eva

Elle a ce don dérangeant
Elle voit à l'intérieur des gens
Cette force-là ne lui appartient pas
Pourtant elle vit avec ça 

L'heure

Mort
Où nous emmèneras-tu
A l'heure
Où nous aurons disparu

Marie brûle

Tu m'dis qu'tu t'es saoulée
Jusqu'à noyer ta peine
Qu'hier c'est du passé
Que t'as même plus de haine
Et puis qu'être avec lui
C'était comme être seule
Sauf au moment des cris
Et des coups dans la gueule
Marie

Sur le fleuve

Amis, bonsoir et bienvenue

D'un rêve nous sommes revenus

Nous venons vous parler 

Du temps perdu

Si tu lâches ma main

Lentement passent les heures
Tu pleures, j'attends une lueur
Dans tes yeux je suis perdu
Où est le feu, qui es-tu ?

La résistante

Elle ferme les yeux

Reprend son pas léger

Elle tourne comme un ange

Elle pourrait s'envoler

Ange Super 8

Deux corps épuisés s'endorment

Au-dessus d'un lit défait

Tellement paisibles, un peu comme

Oui, comme si un ange passait

Wagon lit

J'aime tellement la vie

Ses plaisirs, ses méandres

Prendre un train de nuit

En novembre